jeudi 28 février 2008

A la manière d'Iordanoff...

Suite de l'art abstrait: Jérémie Iordanoff est un jeune peintre français. Il est né en 1983 en France. (http://www.iordanoff.com/)

Les CE1.B ont observé une peinture de Iordanoff, sur laquelle on voit des rayures de différentes couleurs, qui nous donnaient l'impression d'un rideau. Puis sur ces rayures, il y avait quelques cercles, comme des bulles de savon. Une très belle oeuvre, dont les CE1.B se sont inspirés pour produire les peintures suivantes.






















A la manière de Vasarely...

Après avoir observé quelques oeuvres de Vasarely, les CE1.B devaient reproduire un quadrillage, puis dessiner des formes géométriques ou autres formes à l'intérieur de leur quadrillage. Les couleurs ne sont pas choisies au hasard, les élèves ont essayé de varier les couleurs. Par exemple, les formes ne sont pas de la même couleur que le fond du quadrillage.
Victor Vasarely peint aussi de l'art abstrait comme Sonia Delaunay. Il est né en Hongrie en 1908.




A la manière de Sonia Delaunay...

Retour à l'art abstrait... Les CE1.B ont dessiné des cercles, parfois concentriques, parfois se superposant, des demi-cercles et des arcs de cercle. Puis ils ont utilisé de belles couleurs pour produire ces oeuvres à la manière de Sonia Delaunay.

Sonia Delaunay est née en Ukraine en 1910, et elle peint de l'art abstrait. Pour Sonia Delaunay, la couleur permet de dire et de sentir des choses comme la parole. Dans ses peintures, elle veut créer du mouvement et du rythme.









Faire disparaître un morceau de papier dans le dessin...

L'objectif des CE1.B était de faire disparaître le morceau de papier (avec des tuyaux bleus et rouges) dans leur dessin. Ils avaient la liberté de dessiner ce qu'ils voulaient à condition de voir le moins possible le dessin des tuyaux bleus et rouges, que je leur avais donné.















C'est une illusion d'optique!

Les CE1. B se sont inspirés de l'oeuvre d'Eric Battut, intitulée : Le malheur des uns fait le bonheur des autres, réalisée en 2000. Après avoir analysé cette oeuvre, ils ont dessiné seul le visage de profil et nous avons affiché ces visages avec des attaches parisiennes de façon à pouvoir renverser l'image pour faire apparaître le visage du bonheur, du malheur, de la colère, de la frayeur...
Quand l'oeil nous trompe, on dit que c'est une illusion d'optique. C'est une apparence qui nous trompe. Quand on observe ces visages, on croit voir un visage souriant, et en fait, ce même visage peut prendre une expression de frayeur ou de colère.